Examen 2024 Session Normale
Pneumo
- QI. Hémoptysie : Définition, Étiologie, Dg Différentiel
Gastro
- Q1. Ulcère gastro duodénale?
- Q2. Hépatite viral aigue?
- Œsophagite?
Cardio
- Rétrécissement mitral : Définition, Triade de durozier
- Q2. Endocardite infectieuse : Definition, Signes physiques, Signes Fonctionelles, 3 portes d'entree, 3 germes responsables
- Question 2: Cinq facteurs de risques cardio vasculaires modifiables
- Question 3 : Cinq étiologies cardio vasculaires et non coronariennes de la douleur thoracique
Neuro
Q1- Dans le Syndrome Pyramidal flasque A. Il existe une hypotonie et les ROT sont vifs B. Il existe une hypertonie et les ROT sont vifs C. Il ex iste une hypertonie et les ROT sont abolis D. S'observe chez un patient Victime d'un AVC hémorragique récent E. S'observe chez un patient Victime d'un AVC ischémique remontant à six mois
Q2- Dans le Syndrome Pyramidal Capsulaire d'installation brutale A. Le déficit est à prédominance brachiofaciale sans troubles sensitifs B. Le déficit est à prédominance crural sans troubles sensitifs C. Le déficit total non proportionnel sans troubles sensitifs D. Le déficit total proportionnel sans troubles sensitifs avec une aphasie de Broca E. Le déficit est total proportionnel sans troubles sensitifs sans aphasie de Wernicke
Q3- Dans le syndrome méningé A. Un LCR clair lymphocytaire ne peut être d'origine tuberculeuse B. Un LCR clair peut être lié d'origine streptococcique au début C. Un LCR purulent peut être d'origine maligne D. Un LCR purulent peut-être d'origine syphilitique E. Un LCR hémorragique peut avoir comme étiologie une bactérienne particulière
Q4- Vous recevez un homme de 50 ans avec une démarche anormale. Il titube ne pouvant marcher sur une ligne droite, déviant alternativement à droite et à gauche. En l'interrogeant sa voie saccadée, parfois explosive, il est obligé d'écarter ses jambes pour se tenir debout. Chez ce patient l'examen clinique retrouvera également : A. Des réflexes exagérés avec hypotonie B. Des réflexes exagérés avec hypertonie C. Une hypotonie avec des réflexes pendulaires D. Une hypertonie avec des réflexes pendulaires E. Un signe de Babinski bilatéral
Q5- Dans le Syndrome HIC A. Les céphalées brutales sont insensibles aux antalgiques classiques B. Les céphalées sont matinales et d'emblée maximales calmées par les vomissements C. Les Céphalées sont progressives plus intenses le matin et soulagées par les vomissements D. Les céphalées sont surtout vespérales, progressives et soulagées par les vomissements E. Les céphalées sont progressives exagérées par le bruit et la lumière
Q6- Dans le syndrome parkinsonien : A. Il existe quatre symptômes majeurs B. L'akinésie se caractérise par un trouble de l'initiation et de l'exécution du mouvement C. On observe une augmentation du balancement des bras à la marche D. L'hypertonie extrapyramidale est dite élastique E. Le tremblement s'observe surtout aux extrémités des membres supérieurs
Q7- Le syndrome myogène peut être caractérisé par : A. Une diminution de la force musculaire distale ou globale, rarement proximale B. Un visage peu expressif avec effacement des rides C. Une chute du moignon de l'épaule D. Une abolition du réflexe idiomusculaire E. Des troubles de la sensibilité surtout subjectif
Q8- Le diagnostic d'un syndrome myogène peut être fait par : A. Le dosage sanguin des enzymes musculaires B. La ponction lombaire C. L'électromyogramme D. Le dosage urinaire des enzymes musculaires E. La biopsie musculaire
Q9- A propos du syndrome neurogène périphérique : A. Il existe une atteinte motrice, sensitive et végétative B. Le déficit moteur est à prédominance distale C. On trouve une hyper-réflexie ostéo-tendineuse D. Les signes sensitifs objectifs sont souvent les premiers à apparaître E. L'impuissance sexuelle et l'incontinence urinaire entrent dans le cadre de l'atteinte neurovégétative
Q10- Le syndrome de Guillain-Barré se caractérise par : A. Un déficit sensitivomoteur des 4 membres d'installation ascendante B. Une abolition des réflexes ostéo-tendineux C. Une absence totale d'extension aux nerfs crâniens D. Une dissociation albumino-cytologique dans le LCR E. Une évolution marquée par une récupération rapide dans la majorité des cas