1- Dans la transduction au niveau des récepteurs sensoriels A – le stimulus agit au niveau du site récepteur B – le stimulus engendre un potentiel de récepteur C – le potentiel de récepteur provoque la libération du neurotransmetteur à l'origine d'un potentiel générateur D – l'amplitude du potentiel générateur est proportionnelle à l'intensité du stimulus E – le potentiel générateur est véhiculé le long des voies sensitives jusqu'aux centre d'intégration
2- Les récepteurs sensoriels codent A – l'intensité du stimulus B – la nature du stimulus C – le caractère agréable ou désagréable du stimulus D – la plus faible intensité perçue du stimulus (seuil absolu) E – la plus faible variation d'intensité perçue du stimulus (seuil différentiel d'intensité)
3- Les dispositifs récepteurs de type I sont A – les mécanorécepteurs tactiles B – les thermorécepteurs C – les nocicepteurs D – les récepteurs auditifs E – les récepteurs gustatifs
4- Les récepteurs cutanés tactiles à adaptation lente sont A – les terminaisons libres autour des follicules pileux B – les disque de Merkel C – les corpuscules de Ruffini D – les corpuscules de Meissner E – les corpuscules de Pacini
5- Dans l'organisation du système lemniscal A – les voies sont constituées de fibres myélinisées de gros diamètre B – la fibre afférente primaire s'arrête au niveau de la corne postérieure de la moelle épinière C – le noyau ventro-postéro-latéral (VPL) est le noyau thalamique spécifique D – les voies se projettent au niveau de la circonvolution pariétale ascendante (SI) E – les voies de la sensibilité tactile et les voies de la sensibilité proprioceptives se projettent au niveau des mêmes zones de l'aire somesthésique primaire (SI)
6- La lésion des cordons postérieurs (faisceaux gracile et cunéiforme) à droite se manifeste au niveau du territoire sous-jacent par une anesthésie A - tactile fine droite B - proprioceptive droite C - vibratoire droite D - thermique gauche E - douloureuse gauche
7- Le pouvoir de discrimination spatiale de la sensation tactique d'une région est d'autant plus élevé que A – la densité des récepteurs de la région est importante B – la taille des champs récepteurs des neurones est grande C – la zone de projection corticale de la région est grande D – la convergence des fibres afférentes primaires sur le même neurone central est importante E – l'inhibition latérale des voies partant de la région est importante
8- La proprioception regroupe les sensations A - de vibration B - de position des segments du corps C - du mouvement D - de la force E - de pression
9- Dans la sensation thermique A – les récepteurs au froid ont un maximum d'activité pour une température cutanée entre 25 et 30° C B – les récepteurs au chaud ont une activité maximale pour une température cutanée entre 38 et 43° C C – les récepteurs au chaud sont réactivés pour une température cutanée entre 22 et 23° C D – la zone de neutralité thermique se situe entre 22 et 28° C pour un sujet complètement dévêtu E – Si la température cutanée est inférieure à 17° C on a une sensation douloureuse
10- Dans l'organisation du système de la douleur A – les nocicepteurs sont à seuil de réponse élevé et peu adaptés B – les fibres afférentes primaire sont à vitesse de conduction lente C – les neurones nociceptifs spécifiques centraux sont activés uniquement par des stimulations nociceptives mécaniques et thermiques d'origine cutanée D – le faisceau paléo-spino-thalamique a une organisation très proche de celle des voies lemniscales E – le faisceau néo-spino-thalamique se distribue aux différents noyaux de la formation réticulée du tronc cérébral
11- Les substances hyperalgésiantes impliquées dans le mode indirect de transduction de la douleur sont A – la sérotonine B – l'histamine C – les bradykinines D – les ions K+ E – les ions Ca++
12- Les éléments à l'origine de la composante de type piqûre de la douleur sont A – le mode de transduction direct B – le mode de transduction indirect C – les fibres Aδ myélinisée D – le faisceau néo-spino-thalamique E – le faisceau paléo-spino-thalamique
13- Dans le contrôle médullaire de la douleur (Gate Control) A – les fibres de gros diamètre exercent une inhibition sur la transmission des messages nociceptifs au niveau de la corne postérieure de la moelle B – les influx nociceptifs véhiculés par les fibres de petit diamètre doivent être importants pour être transmis au 2ème neurone C – les interneurones de la substance gélatineuse de Rolando sont inhibés par les fibres de gros diamètre et excités par les fibres de petit diamètre D – le neurotransmetteur des fibres de gros diamètre est le GABA (acide Gamma-Amino-Butyrique) E – la met-enképhaline exerce un effet hypoalgésiant
14- Les neurotransmetteurs hypoalgésiants impliqués dans le contrôle de la douleur sont A – la substance P B – le GABA (acide Gamma-Amino-Butyrique) C – la met-enképhaline D – la sérotonine E – l'acétylcholine
15- Les douleurs neurologiques peuvent être dues à la lésion A – des fibres périphériques de la sensibilité tactile et proprioceptive B – des cordons postérieurs de la moelle C – de la formation réticulée du tronc cérébral D – du cortex frontal E – de l'aire somesthésiques primaire (S1)
16- La sensibilité visuelle est caractérisé par A – un stimulus efficace constitué par la lumière de longueur d'onde entre 590 et 960 nm B – un champ visuel binoculaire ayant une étendue de 180° selon l'axe horizontal et 120° selon l'axe vertical C – un seuil absolu de quelques photons lumineux D – un seuil différentiel de 30 à 40 niveaux de gris entre le noir et le blanc et 200 nuances colorées E – un pouvoir de discrimination temporelle très élevé
17- Au cours de la phototransduction A – le potentiel de membrane du photorécepteurs passe de -70 mV à - 40 mV B – les photons lumineux arrivant au photorécepteur détachent le rétinal de l'opsine C – la concentration de GMPc cytoplasmique diminue D – la diminution de la concentration de GMPc entraîne l'ouverture des canaux à sodium E – la concentration de GMPc est modulée par les ions Ca++
18- La cellule ganglionnaire de la rétines A – est le siège d'une activité de base sous forme de décharges de potentiels d'action à l'obscurité B – est excitée quand l cellule bipolaire à laquelle elle est connectée est inhibée C – répondent aux contrastes plutôt qu'à l'intensité de la lumière D – ont un champ récepteur rectangulaire constitué d'une région centrale et d'une région périphérique E – est plus activée par l'éclairement simultané du centre et de la périphérie de son champ récepteur
19- Au niveau du cortex visuel A – les cellules simples détectent le mouvement du stimulus visuel B – les cellules complexes détectent la couleur du stimulus visuel C – les cellules hypercomplexes détectent les bords et les angles du stimulus D – les cellule d'une colonne de dominance oculaire sont plus activées quand l'information visuelle provient d'un œil (le droit ou le gauche) E – chaque colonne de dominance oculaire comporte des colonnes d'orientation de l'ensemble des directions de l'espace
20- Dans la vision binoculaire A – chaque point de la rétine a son correspondant sur l'autre B – l'hémirétine temporale droite et l'hémirétine temporale gauche sont homologues (comportent des points correspondants) C – lorsque les deux images d'un objet se projettent sur des points rétiniens correspondants il est vu simple D – l'image d'un objet ne se projette sur des points rétiniens correspondants que quand il est fixé par le sujet E – la plupart des cellules du cortex visuel reçoivent l'information des hémirétines non homologues (comportant des points non correspondants)
21- Au niveau de l'oreille A – l'oreille externe amplifie les sons qu'elle transmet B – l'oreille moyenne transmet les sons à l'oreille interne sans les amplifier C – la membrane basilaire est plus étroite et plus rigide à la base qu'au sommet D – le système récepteur de l'audition (organe de Corti) repose sur la membrane basilaire du canal cochléaire E – le pôle basal des cellules ciliées est en contact avec le liquide périlymphatique alors que leur pôle apical comportant les cils baigne dans le liquide endolymphatique
22- Les caractéristiques de la sensation auditive sont A – un seuil absolu variable en fonction de l'intensité du son B – des fréquences audibles entre 20 Hz et 20 KHz C – un seuil minimal de l'audition entre 1 KHz et 4 KHz D – un seuil douloureux d'environ 130 dB E – un seuil différentiel d'intensité variable en fonction de la fréquence sonore
23- Dans les phénomènes électriques de la transduction cochléaire A – le potentiel de membrane des cellule ciliées internes (CCI) est de -30 mV B – le stimulus sonore est à l'origine d'une inclinaison des cils des CCI C – le déplacement des cils dans une direction produit une dépolarisation de la cellule, le déplacement dans la direction opposée produit une hyperpolarisation D – la dépolarisation est due à un courant entrant de Na+ à travers des canaux situés dans la membrane apicale des CCI E – la dépolarisation est à l'origine de la fermeture de canaux potassique (K+) voltage dépendant situés au pôle basal des CCI
24-La motricité somatique permet : A. la communication B. la détection des stimuli C. la mobilisation des globes oculaires D. la transduction des signaux E. le maintien de l'équilibre
25-Une activité motrice réflexe est : A. commandée par l'aire motrice principale (aire 4) B. la plus simple manifestation du comportement C. rapide D. stéréotypée E. volontaire
26-La motricité cinétique regroupe les variétés des mouvements : A. automatiques B. péristaltiques C. réflexes D. semi-volontaires E. volontaires
27-Les réflexes peuvent être classées selon : A. la situation de l'effecteur B. la vitesse de la réponse C. le nombre de synapse D. le type de récepteur E. le type du stimulus
28-Le réflexe myotatique simple : A. a comme effecteur le muscle lisse B. a comme récepteurs les récepteurs tendineux de Golgi C. est un réflexe proprioceptif D. possède des fibres sensitives de type Ia E. possède un centre de commande située au niveau de la moelle épinière
29-Le réflexe myotatique inverse est : A. d'origine tendineuse B. extéroceptif C. monosynaptique D. polysegmentaire E. un système de régulation de la tension développée par le muscle
30-L'arc réflexe myotatique inverse comporte : A. de fuseaux neuromusculaires comme récepteurs B. des fibres efférentes de type motoneurone gamma C. des fibres sensitives de type Ib D. un centre d'intégration au niveau de la corne antérieure de la moelle épinière E. un effecteur constitué du muscle strié squelettique
31-Le réflexe d'extension : A. a comme point de départ des récepteurs tactiles B. a comme voie motrice des motoneurones gamma C. a comme voies afférentes des fibres de type II et III D. est monosynaptique E. s'interprète comme une augmentation de l'appui pour le maintien de la position
32-Le tonus musculaire est : A. d'origine musculaire B. diminué au cours du sommeil C. la légère tension à laquelle se trouve tout muscle D. maintenu après section des racines postérieures sensitives correspondant au muscle E. plus important dans les muscles extenseurs
33-Le tonus musculaire est inhibé par: A. l'aire prémotrice (aire 6) B. l'interneurone de RENSHAW C. la boucle gamma D. le cervelet E. les noyaux vestibulaires
34-Une hypertonie est observée lors : A. de la décérébration B. de lésion de l'aire prémotrice (aire 6) C. de lésion de la substance noire (locus Niger) D. de lésion des motoneurone alpha E. du sommeil
35-La fonction d'équilibration : A. assure l'orientation dans l'espace B. est altérée lors de la fermeture des yeux C. se fait par un contrôle volontaire D. utilise les informations proprioceptives E. utilise les informations visuelles
36-Pour les récepteurs vestibulaires : A. les canaux semi-circulaires interviennent dans l'équilibre statique B. les canaux semi-circulaires participent à la stabilisation des globes oculaires C. les canaux semi-circulaires sont sensibles à l'accélération angulaire D. les saccules sont sensibles l'inclinaison latérale de la tête E. les utricules interviennent dans le maintien de l'équilibre dynamique
37-Les voies vestibulaires périphériques : A. atteignent directement le cortex cérébral B. atteignent les motoneurones spinaux par les faisceaux vestibulo-spinaux C. font relais au niveau des noyaux vestibulaires D. se projettent sur les noyaux du nerf vague (X) E. sont issues des récepteurs vestibulaires
38-Une atteinte du système vestibulaire droit se manifeste par : A. des vertiges B. un nystagmus droit C. une ataxie D. une exagération des réflexes ostéo-tendineux E. une surdité
39-L'aire prémotrice : A. correspond à l'aire 6 de Brodmann B. est le lieu de représentation somatotopique des muscles du corps C. est le lieu de naissance des voies extrapyramidales D. est située en avant de l'aire motrice principale (AMP) E. reçoit des informations périphériques
40-Une lésion des voies pyramidales est à l'origine : A. d'une ataxie B. d'une exagération des réflexes ostéo-tendineux C. d'une hypotonie musculaire D. d'une inversion du réflexe cutané plantaire (signe de Babenski) E. d'une parésie des muscles des extrémités des membres
41-L'exécution d'un mouvement volontaire met en jeu : A. l'aire motrice principale (AMP) B. l'appareil vestibulaire C. le faisceau pyramidal D. le pallidum E. les motoneurones alpha
42-Le cervelet est impliqué dans : A. l'exécution des mouvements réflexes B. la coordination des mouvements volontaire dans le temps et dans l'espace C. la sensibilité proprioceptive D. le contrôle de l'équilibre E. le contrôle du tonus musculaire
43-Les noyaux gris centraux : A. interviennent dans la préparation de l'acte moteur B. sont en relation avec les aires somesthésiques C. sont impliqués dans la régulation du tonus D. sont impliqués dans le contrôle des mouvements lents E. sont nécessaire pour l'exécution du mouvement
44-Les aires associatives A – établissent des liens entre les aires sensorielles et les aires motrices B – élaborent les sensations C – élaborent des intentions d'action D – interviennent dans le contrôle des mouvements volontaires E – sont impliquées dans des fonctions supérieures
45- Les aires 5 et 7 gauches A – traitent des informations du domaine somesthésique B – sont impliquées dans les perceptions proprioceptives C – sont responsables d'une anesthésie tactile quand elles sont lésées D – sont responsables d'une incapacité de reconnaître les objets par le toucher quand elles sont lésées E – sont responsables d'une apraxie quand elles sont lésées
46- L'aire 22 gauche A – permet la reconnaissance des sons entendus B – participe au contrôle de la phonation quand le sujet parle C – est impliquée dans l'élaboration du langage écrit D - est responsable d'une incapacité de comprendre la signification du langage parlé quand elle est lésée E – est responsable d'une perturbation de la reconnaissance des mélodies quand elle est lésée
47- Les aires praxiques A – sont situées au niveau de la région pariéto-temporo-occipitale droite B – sont indispensables pour la réalisation des habiletés C – sont indispensables pour le langage parlés D – sont à l'origine d'une aphasie quand elles sont lésées E – sont à l'origine d'une incapacité de comprendre les mots écrits quand elles sont lésées
48- Dans l'aphasie de BROCA A - la lésion est située au niveau de l'aire 44 frontale gauche B – la compréhension du langage parlé est perturbée C - la construction du langage est perturbée D - l'articulation des mots est impossible E - le sujet est conscient de son trouble du langage
49- La lésion bilatérale des aires associatives préfrontale se manifeste par A – une agnosie auditive B – une diminution des mouvements spontanés C – une perte de l'autocritique et du jugement D – une diminution de fixation de l'attention E – une apraxie
50- Les aires préfrontales sont impliquées dans A - le comportement de persévérance B - le comportement d'investigation C - l'exécution des habiletés gestuelles (praxies) D – l'élaboration du langage E – la coordination des fonctions intellectuelles supérieures
51- L'activité électroencéphalographique physiologique A - est la somme de potentiels d'action B - a comme origine les cellules pyramidales du cortex cérébral C - est rythmée par les noyaux thalamiques non spécifiques (à projection diffuse) D - est modulée par les afférences d'origine médullaire E - augmente d'amplitude quand le niveau de vigilance augmente
52- Le rythme électroencéphalographique alpha A – a une fréquence située entre 8 et 12 Hz B – a une amplitude moyenne de 50 μV C – apparaît à l'ouverture des yeux D – est localisé au niveau des régions antérieures du crâne E – est présent au stade II (N2) du sommeil lent
53- Au cours de la crise épileptique tonicoclonique généralisée on observe successivement à l'EEG A – une décharge de pointes amples à 10 – 16 Hz B – une décharge de pointe-ondes C – une accélération de l'activité de fond à 20 Hz durant plusieurs secondes D – un retour à la normale transitoire de l'activité de fond E – un ralentissement de l'activité de fond persistant jusqu'à une heure après la fin de la crise
54- Le stade II du sommeil lent se caractérise par A - une activité électroencéphalographique delta permanente B - une hypotonie musculaire C - des mouvements oculaires rapides D - une diminution de la fréquence cardiaque E – une érection du pénis
55- Dans l'organisation d'une nuit de sommeil chez l'adulte A – le sommeil lent occupe 20% de la durée totale du sommeil B – une nuit de sommeil comporte en moyenne 3 à 5 cycles de 90 mn C – la durée du sommeil lent profond par cycle diminue du début vers la fin de la nuit D – la durée du sommeil paradoxal par cycle augmente du début vers la fin de la nuit E – le sommeil paradoxal apparaît en premier dans un cycle
56- Les neurones à Orexines (Hypocrétines) A – sont localisés au niveau des noyaux du raphé B – projettent sur l'ensemble du cerveau C – provoquent un éveil quand ils sont stimulés D – sont à l'origine d'une anorexie quand ils sont stimulés E – sont impliqué dans la narcolepsie quand ils sont lésés
57- Dans la régulation circadienne (chronobiologique) du cycle veille - sommeil A – l'horloge biologique est située au niveau des noyaux suprachiasmatiques (NSC) de l'hypothalamus B - les noyaux suprachiasmatiques agissent par l'intermédiaire la la glande pinéale (épiphyse) C – la lésion des noyaux suprachiasmatiques se manifeste par une diminution de la durée de sommeil D – le processus circadien (C) règle les horaires d'endormissement et de réveil E – la pression de sommeil est maximale quand la température centrale atteint son maximum
58- Les structures impliquées dans la régulation du sommeil sont A – l'aire pré-optique de l'hypothalamus antérieur (VLPO) B – le noyau sublatérodorsal C – le télencéphale basal D – la formation réticulée mésencéphalique E – le noyau locus coeruleus pontique
59- A propos des types de mémoires A – la mémoire sensorielle permet de retenir les informations durant plus de 5 minutes B – la mémoire à court terme (de travail) permet de retenir les informations durant la réalisation des tâches C – la mémoire à long terme est durable et à capacité théoriquement illimitée D – la mémoire déclarative (explicite) épisodique gère les informations des évènements vécus E – la mémoire procédurale (implicite) nécessite un rappel conscient des apprentissages
60- A propos de la localisation des types de mémoire A – la mémoire de travail implique le cortex préfrontal B - la mémoire sémantique concerne le lobe temporal et frontal C - la mémoire épisodique implique les structures de l'hippocampe, du lobe frontal et des régions corticales D - la mémoire non déclarative ou implicite implique le cortex pariétal E – la mémoire procédurale implique le cortex temporal